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Cette année, nous allons découvrir plusieurs films et nous vous en parlerons dans les colonnes de notre cyber-gazette. Demandez le programme :

En décembre, nous verrons d'abord L'homme qui rétrécit (Jack Arnold, 1957). Le 24 mars, nous verrons La petite vendeuse de soleil (film sénégalais de Djibril Diop Mambéty, 1999). Le 7 avril, ce sera au tour du Voleur de Bagdad (réalisé en 1940 par Ludwig Berger et plusieurs autres réalisateurs). Enfin, le 16 mai, nous irons voir Edward aux mains d'argent (Tim Burton, 1990).
 
Nous travaillerons également sur La guerre des boutons (Yves Robert, 1962) et Les 400 coups (François Truffaut, 1959).

Dernière minute : le maître nous a fait découvrir un film suédois de 2003 intitulé Misa mi ("Ma Misa", mais le titre a été traduit par "Misa et les loups").
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Le projecteur de notre cinéma
 
Jeudi 8 décembre, nous sommes allés visiter la cabine de projection du cinéma Abel Gance. Pour savoir ce que nous en avons pensé, il faut cliquer sur "En savoir plus" (ci-dessus).
 
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L'homme qui rétrécit
film de Jack Arnold (1957)

Ce qui m'a plu dans ce film, c'était que les acteurs jouaient bien leurs rôles. La scène que j'ai le plus aimée, c'était quand le héros a tué l'araignée. En même temps, c'était dégoûtant parce qu'il avait plein de sang sur lui. J'ai moins aimé la fin parce qu'on ne savait pas s'il allait retrouver sa femme et s'il allait devoir rester petit toute sa vie. Ça aurait été bien s'il y avait eu une fin qui nous dise s'il allait retrouver sa taille normale et s'il allait retrouver sa femme. En tout cas, si ça m'était arrivé, j'aurais eu peur et j'aurais été triste. (Tiffani)

Ce qui était bien dans ce film, c'était l'histoire et l'ambiance. J'ai moins aimé le noir & blanc, mais on s'y habitue vite. Ça aurait été bien si ça avait été en couleur. En tout cas, si ça m'était arrivé, je n'aurais pas essayé de tuer l'araignée et le chat m'aurait vite tué. (Niels)
 
Ce qui était bien, c'est que c'était pour les enfants comme pour les adultes et que ce n'était pas trop horrible — à part la scène de la mygale —, qu'il n'y avait pas trop de musique et que cela faisait vrai. Si cela existait vraiment, chaque fois que je prendrai le bateau, je regarderai à l'horizon pour voir s'il n'y a pas de nuage avec des paillettes... Je n'ai pas trop aimé quand on lui annonçait qu'il rétrécissait, la poursuite avec le chat et le combat avec l'araignée. Mes moments préférés étaient : quand il allait chez le docteur, qu'on le mesurait et qu'il faisait toujours la même taille et le même poids ; quand sa femme descendait les escaliers et que ça faisait trembler sa maison pour Polly Pocket ; quand il est devenu tout petit, qu'il allait à la foire et qu'il voyait une jeune fille dans le même cas que lui. Si ça m'était arrivé, j'aurais été dans tous mes états et, en plus, j'aurais eu honte quand j'aurais voulu faire mes courses ; je n'aurais même pas pu porter une boîte ! (Pauline)
 
Ce qui était bien dans ce film, c'est quand il a vu l'araignée qui le suivait ; c'était bien. J'aurais bien aimé si ça avait été la femme qui avait rétréci. En tout cas, si ça m'était arrivé, j'aurais dû me calmer parce que ce n'est pas si grave. Sauf que mon petit frère aurait essayé de m'écraser ou de me dévorer. (Tassadit)

Ce qui m'a plu dans ce film, c'est que Scott Carey était assez rigolo quand il commençait à rapetisser. Et ce qui m'a fait vraiment rire, c'est quand Louise Carey et lui s'embrassaient, et qu'il a dit : "Avant, tu te mettais sur la pointe des pieds." Sinon, ce qui m'a déplu, c'est que, à la fin, Scott est seul, sans personne de sa taille. En tout cas, si ça m'arrivait, je ne perdrais pas confiance et j'aurais des tas d'idées. Mais, être seul, je le supporterais mal. (Thomas G.)

à suivre... en travaux
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