L'homme
qui rétrécit
film de Jack Arnold (1957)
Ce qui m'a plu dans ce film, c'était que les acteurs
jouaient bien leurs rôles. La scène que j'ai
le plus aimée, c'était quand le héros
a tué l'araignée. En même temps, c'était
dégoûtant parce qu'il avait plein de sang
sur lui. J'ai moins aimé la fin parce qu'on ne
savait pas s'il allait retrouver sa femme et s'il allait
devoir rester petit toute sa vie. Ça aurait été
bien s'il y avait eu une fin qui nous dise s'il allait
retrouver sa taille normale et s'il allait retrouver sa
femme. En tout cas, si ça m'était arrivé,
j'aurais eu peur et j'aurais été triste.
(Tiffani)
Ce
qui était bien dans ce film, c'était l'histoire
et l'ambiance. J'ai moins aimé le noir & blanc,
mais on s'y habitue vite. Ça aurait été
bien si ça avait été en couleur.
En tout cas, si ça m'était arrivé,
je n'aurais pas essayé de tuer l'araignée
et le chat m'aurait vite tué. (Niels)
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Ce
qui était bien, c'est que c'était pour les
enfants comme pour les adultes et que ce n'était
pas trop horrible — à part la scène
de la mygale —, qu'il n'y avait pas trop de musique
et que cela faisait vrai. Si cela existait vraiment, chaque
fois que je prendrai le bateau, je regarderai à
l'horizon pour voir s'il n'y a pas de nuage avec des paillettes...
Je n'ai pas trop aimé quand on lui annonçait
qu'il rétrécissait, la poursuite avec le
chat et le combat avec l'araignée. Mes moments
préférés étaient : quand il
allait chez le docteur, qu'on le mesurait et qu'il faisait
toujours la même taille et le même poids ;
quand sa femme descendait les escaliers et que ça
faisait trembler sa maison pour Polly Pocket ; quand il
est devenu tout petit, qu'il allait à la foire
et qu'il voyait une jeune fille dans le même cas
que lui. Si ça m'était arrivé, j'aurais
été dans tous mes états et, en plus,
j'aurais eu honte quand j'aurais voulu faire mes courses
; je n'aurais même pas pu porter une boîte !
(Pauline) |
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Ce qui était bien dans ce film, c'est quand il
a vu l'araignée qui le suivait ; c'était
bien. J'aurais bien aimé si ça avait été
la femme qui avait rétréci. En tout cas,
si ça m'était arrivé, j'aurais dû
me calmer parce que ce n'est pas si grave. Sauf que mon
petit frère aurait essayé de m'écraser
ou de me dévorer. (Tassadit)
Ce qui m'a plu dans ce film, c'est que Scott Carey était
assez rigolo quand il commençait à rapetisser.
Et ce qui m'a fait vraiment rire, c'est quand Louise Carey
et lui s'embrassaient, et qu'il a dit : "Avant, tu
te mettais sur la pointe des pieds." Sinon, ce qui
m'a déplu, c'est que, à la fin, Scott est
seul, sans personne de sa taille. En tout cas, si ça
m'arrivait, je ne perdrais pas confiance et j'aurais des
tas d'idées. Mais, être seul, je le supporterais
mal. (Thomas G.)
à suivre... en travaux |